Capuccino Girl [lucas]

Peyton avait besoin de sortir de chez elle. Elle avait eu une conversation un peu houleuse avec son père ce matin.
La discussion qu'elle avait eue avec Nathan l'avait un peu secouée. Elle avait pris conscience qu'elle en avait marre de subir les déménagement incessants imposés par son père. Elle ne s'était jamais plainte mais elle en souffrait beaucoup. Elle commençait à se faire des amis ici, du genre qui semblaient vraiment sincères et qu'elle aimerait bien pouvoir garder pour une fois. Du genre qui méritait de s'opposer à son père pour une fois.
Vu la réaction de papa Sawyer, il n'allait pas y avoir de grand changement mais Peyton savait que son père se braquait toujours systématiquement. Il analyserait la situation plus tard et peut-être avec énormément de chance il trouverait une solution satisfaisante.
Elle passa devant un charmant café et entra pour prendre un capuccino. Comme elle l'avait dit à Rachel, quand elle était contrarié elle avait besoin de quelque chose de sucré et/ou calorique pour se remonter le moral. Elle espérait qu'il y aurait beaucoup de crème et des pépites de chocolat.Elle alla s'asseoir à une table.

Aujourd’hui Lucas devait aller au bar pour aider sa mère a tenir le lieu, il arriva tôt pour servir quelques clients et porter les cartons les plus lourds. Puis quand il avait des moment de pause il retourner a la table du fond, lire un livre. De toute façon la plupart des habituer le connaissait, et donc savait ou le trouver pour avoir un verre. Cette journée était comme les autre pour lucas, a la différence que cette fois une fille entra. Peyton la nouvelle toujours coller a Nathan, a cause des évènement avec ce dernier il ne compter pas aller lui parler. Avec chance elle ne le vit pas dans son coin, et c’est la mère de lucas qui la servit.

Après plusieurs minute un livreur entra dans le café, trainant devant lui des cartons. Il chercha quelques instant Karen mais ne la voyant pas il ce tourna vers l’endroit habituel de lucas, tout en enlevant sa casquette il l’interpella.

Hey Scott ! Ou est la patronne !

Le jeune homme leva les yeux, puis indiqua avec le dois ou elle ce trouver. C’est-à-dire dans l’arriere boutique, pour le coup la discrétion n’était plus de mise. Il adressa un regard a la belle blonde, avant de replonger dans sa lecture.

Peyton fut servie par une dame absolument charmante qui lui apporta un capuccino énorme plein de crème et avec les fameuses pépites de chocolat qu'elle espérait tant. Toute à sa dégustation elle finit enfin par se détendre elle fut donc dans de meilleurs conditions qu'à son arrivée quand elle entendit prononcer le nom de "Scott" et se retrouva à nouveau face à face avec la paire d'yeux azur qu'elle rencontrait sans cesse depuis son arrivée.
Il la regarda un moment puis se replongea dans sa lecture.
Peyton détestait se sentir troublée par lui sans raison alors elle décida d'aller lui parler, persuadée que plus elle en saurait sur lui et plus vite ses picotements dans la colonne vertébrales et autres désagréments disparaitraient.Elle regarda son capuccino et décida qu'il ne serait pas de torp dans la discussion, elle prit son immense tasse à la main et alla s'asseoir devant le jeune homme sans même lui demander la permission.C'était malin elle ne savait même pas quoi lui dire. Pourquoi ne pas commencer simplement?...

Dis-moi qu'y a quelque chose dans ce bouquin sur l'entente cordiale entre membres d'une même famille.

...parce qu'elle était Peyton Sawyer sans doute.

Une personne vint le troubler dans son voyage silencieux de la lecture, il leva le regard pour tomber sur peyton. Il resta un léger moment muet devant elle, pourquoi elle venait le voir. C’est peut être aussi par peur qu’il ne dis rien, mais peur de quoi impossible a dire. Il ferma son livre, puis le posa sur la table. C’était un livre assez abimer. Pas étonnant vu le nombre de fois ou lucas l’avait ouvert, a la réflexion de la jeune femme il laissa échapper un rire.

« Macbeth » il n’y a pas mieux pour la famille, soyons sérieux pourquoi es tu venu me parler. Tu as du te rendre compte, que devant toi tu n’as pas le bon Scott…

Il ne lui dis pas ça de façon méchante, mais son lien amicale avec Rachel laisser a penser que Peyton. Voler pas lus haut au niveau du caractère, il ce redressa en la fixant. Histoire de savoir ce qu’elle avait en tête, le fait de parler famille a un Scott impliquer forcément une mauvaise chose.

Tu as une chose particulière a me dire peyton ?

Elle n'avait pas dû poser la bonne question car il avait l'air un peu sur ses gardes et lui demanda si elle avait quelque chose de particulier à lui dire. En réalité pas vraiment et sa question ne faisait qu'ajouter à sa confusion. Qu'est-ce qu'elle faisait là après tout? Elle regarda la porte en se disant qu'elle ferait surement mieux de partir puis se ravisa il y avait assez de place pour 2 dans ce café même si ils ne discutaient pas.

Rien en particulier mais si je te dérange je peux...

Elle se retourna brièvement en montrant son ancienne table d'un signe de main.

retourner d'où je viens.

Elle tandis la main pour récupérer sa tasse quasiment sure de ce qu'il allait répondre.Elle sourit légèrement en regardant la couverture de son livre.

Cela dit tu devrais peut-être penser à lire quelque chose de...moins...sanglant vu la tension ambiante à Tree Hill.Tu pourrais finir par avoir envie de...tuer ton père ou quelque chose dans le genre.

A premiere vu il s’agissait d’une fille pas trop sur d’elle, mais pas du tout méchante. Vu le portrait que son frère avait du lui dresser de Lucas, elle en avait eut du courage pour venir malgré tout lui parler. Il décida de ce montrer moi hostile envers elle, il n’aller pas non plus devenir un nahtan en version blonde. A en vouloir au monde entier, il lui fit un sourire.

Mais non reste voyons, tu as bien fait de venir me parler. Je suis Lucas Scott, mais je suppose que tu le sais déjà.

Il lui tendis une main pour la saluer, cela risquer de ne pas plaire a Brooke. Mais il n’y avait rien d’autre qu’une conversation amicale, en temps normal il lui aurait parler bien avant. Mais avec ces histoires de clans, il du attendre cette instant. Puis il ce décida a lui poser la question, qui lui trotté dans la tête.

J’ai vu que tu avait dessiner au gymnase, pourras-tu me montrer ? Pour le fait de tuer mon père…un Scott a déjà grandit sans, pas la peine de faire ça a un deuxième..

Elle hocha la tête en signe d'acquiescement pour lui confirmer qu'elle connaissait déjà son nom. Elle regarda ensuite sa main tendue ne sachant pas trop ce qu'elle était censée faire, si elle lui serrait la main elle risquait encore d'avoir des sensations bizarre et il allait le remarquer.Tant pis il fallait bien être polie si elle ne le faisait pas cela risquait d'être encore plus bizarre elle retira assez rapidement sa main pour se masser la nuque en s'éclaircissant la gorge et poursuivit la conversation comme si de rien n'était. Elle n'était pas habituée à ce qu'on s'intéresse à ses dessins ce qui ne la dérangeait pas vraiment car il contenaient souvent des éléments très personnels pas toujours décelable au premier coup d'oeil mais qui signifiaient beaucoup pour elle.D'ailleurs hier elle s'était dessinée en tenue de pom pom girl et qui aurait cru ça d'elle!

Excuse moi mais je connais pas encore toutes les subtilités et rebondissement de l'Histoire des Scott...ça a l'air très Shakespearien cela dit. Et pour mes dessins hum...ils sont assez personnels...

Il la regarde longtemps avec un sourire, sans dire un seul mot. Il ce douter bien du sens personnel de ces dessins, il connaissait aussi d’avance sa réponse a la question. Il était évident qu’elle ne ce livrer pas aussi simplement, cela ne faisait donc que le lui confirmer. Sa mère lui demanda de venir deux minutes, Lucas ce leva donc et une fois a coté de Peyton. Posa sa main sur son épaule, il ne voulais pas non plus la gêner de sa réponse négative.

En un jour tu en as appris sur nos vies, as moi et mon frère. Tu as donc une dette envers moi, et tu devras t’en acquitter un jour en me montrant un de tes dessins. Je compte sur toi Peyton…

Puis il s’en alla vers sa mère qui voulait simplement qu’il vide un carton, ce qui ne lui pris que quelques minutes. Il savait depuis fort longtemps ou ranger tel et tel chose, il revint vers la table ou était installer la jeune femme.

Tu risque surprise par tes rencontres dans cette ville, mais je sent déjà que tu vas t’y plaire.

C'était étrange comme la main de Lucas semblait toujours être posé là sur son épaule même après qu'il soit partie. Elle fronça les sourcils essayant de faire comme si elle ne ressentait rien. Avant de partir il lui avait dit des paroles plutôt censées. C'est vrai qu'elle avait appris pas mal de choses sur sa vie en 2 jours. Elle ouvrit son carton a dessin et regarda celui qu'elle avait sur elle, celui de la pom pom girl. Elle soupira, le referma et le rangea dans son sac. Elle avait vaguement parlé à Rachel et Nathan su fait que le gymnase n'était finalement pas le lieu le plus crétin de la Terre comme elle le pensait au début mais elle avait toujours nié vouloir faire partie de l'équipe. La dispute avec son père ce matin ne faisait que lui donner une raison supplémentaire de ne rien dire. Alors qu'elle dégustait son capuccino dont elle avait soudain un grand besoin, Lucas revint vers elle.

Pour être honnête...je crois que je m'y plais déjà.

Elle ajouta quelque chose dans un murmure en se parlant à elle même.

Et c'est bien le problème.

Elle secoua la tête comme pour faire partir cette idée de son esprit.

Peu importe...j'ai repensé à ce que tu m'a dis et...Je suis pas sûre d'avoir une dette envers toi en fait. J'en ai appris pas mal sur Nathan mais tout ce que je sais de toi c'est que tu t'appelles Lucas Scott, que tu es son frère ou demi-frère, que tu joues au basket et que tu marques des paniers pour ta copine Brooke. Ah et aussi que t'as une relation plutôt merdique avec Nate parce que t'es le meilleur amide son ex-femme... mais je suis pas sûre que ça mérite de voir un dessin vu que ça tout le monde le sait.

Elle avait du cran la petite Peyton, mais sur le fond elle n’avait pas tord. Ce qu’elle savait de lui était ce que les autres savaient aussi, une bonne capacité à analyser les choses. Lucas ne l’oublierait pas de si tôt.

Dis comme ça on pourrait croire que je suis un garçon bien superficiel, c’est vrai-je suis un basketteur de l’équipe du lycée. Mon frère est le capitaine, sa copine est aussi une pom’s comme la mienne. Dans le fond tu as vraiment du te demander dans quoi tu avait débarquer, mais parfois la première impression n’est pas la bonne.

C’Est-ce qu’elle devait ce dire, qu’il était comme les autres sportif en générale pas très douer dans les études. Et que sa copine était très certainement une idiote agitant des truc colorer, mais ça vie n’était comme ça que depuis peu de temps. Elle ne savait rien de son passer, n’y des épreuves endurer. Mais cette conversation avec lui-même a ce Sujet n’avait pas lieu d’être, car jusqu’à présent la jeune femme. Ne c’était pas montrer dénigrante vis-à-vis de lui ou de son entourage, il n’aller donc pas en faire de même avec elle il aller simplement lui demander de vive voie.

Parle moi un peu de toi, d’où viens tu ? Qui es tu ?

Elle sourit en entendant sa réponse, il fallait dire que ce qu'elle savait de lui était plutôt limité alors résumé comme ça ce n'était pas forcément le portrait idéal. Certes elle aurait pu lui dire qu'il y avait quelque chose de troublant chez lui qui sans qu'elle sache pourquoi le rendait unique mais non...elle ne pouvait pas dire quelque chose comme ça.Ca aurait même été la chose la plus stupide à faire compte tenu du fait qu'il avait déjà quelqu'un dans sa vie et qu'elle n'avais d'une part aucune envie de créer des problèmes et d'autre part aucune envie de s'attacher à davantage de personne dans cette ville. Elle décida pourtant de faire un petit geste pour son ego. Elle le regarda un petit sourire en coin aux lèvres.

Je considère que toute personne qui lit Macbeth pour le plaisir ne peut pas être entièrement superficielle...même si c'est un sportif. Et puis de toute façon je suis en train de revoir ma "conception du sportif" depuis hier...Tant qu'on en est à parler de premières impressions, je tiens à préciser que malgré les tonnes de nourritures et boissons calorique avec lesquelles tu m'as vue je suis pas boulimique.

Il s'intéressa ensuite à elle, sa vie, son passé,... Elle prit un inspiration et commença d'abord son récit comme s'il s'agissait d'une leçon apprise par coeur...

Je m'appelle Peyton Sawyer, je suis née à Seattle où j'ai passé une enfance plutôt ordinaire.Puis mon père a eu une promotion qu'il n'a pas pu refuser car on avait besoin de cet argent et depuis on passe notre temps à déménager. On a passé un an à Boston, 3mois à Philadelphie, 2 mois à Orlando, 2mois à Portland, 4mois à San Francisco (je crois que c'était le pire car on a carrément traversé le pays pour allez là-bas et pour revenir), ensuite on est revenus sur la côte est pour 3mois à Jacksonville et me voila ici...où comme une idiote j'ai encore défait mes valises et parlé à des gens plutôt cool. Enfin je suppose que je devrais pas me plaindre avec tout ça j'ai pas vraiment le temps de vivre de psychodrames comme ceux que vous vivez plus ou moins tous en ce moment...Ca va te paraitre idiot mais parfois j'aimerai bien m'engueuler avec mon frère ou me faire gifler par une coéquipière en colère juste parce que ça voudrait dire que j'ai eu assez de temps pour connaitre ces personnes, les aimer, les détester, peu importe...

Elle se rendit compte qu'entrainée à la confidence par le regard attentif de Lucas et peut-être parce que la dispute avec son père était encore trop fraîche, elle en avait dit un peu trop.Elle se mordit la lèvre et se plongea dans le peu qu'il restait de son capuccino...toujours ce vieux réflexe qui traduisait sa nervosité.

Oublie ce que je viens de dire.

On peux lire un livre de blagues pour le plaisir, mais ce livre la. Surement pas pour la même raison, il faut le lire et le relire. Comme tant d’autre bouquin, pour comprendre leurs message. Je n’ai jamais penser que tu était une fille comme ça, mais j’ai vu que quand une chose ou une situation te gêner. Tu tenter de la fuir par plusieurs moyens, l’un d’entre eux et je suppose le dessin…

Lucas lui aussi faisait la même chose qu’elle mais en lisant des tonnes de livres, un truc que les solitaires ont en commun sans doute. Mais il ne voulus pas la juger en disant ça, il la comprenait un peu. Il l’écouta parler d’elle une vie semblât t-il plutôt vide coter liens affectif, il ne la quitta pas des yeux. Combien de villes avait t-elle traverser a chaque fois, cela ne devait pas être simple de n’être que la nouvelle. Même ici elle l’avait était bon d’accord peu de temps mais quand bien même, elle en dis beaucoup sur sa vie. Mais d’une chose importante elle n’en dis pas un mot, il la laissa donc finir. Puis en regardant ailleurs lui dis simplement.

Je te comprends oui, je n’ai pas a me plaindre de ce coter la….et je voulais te dire…je suis désoler pour ta mère…

Comment pouvait t-il le savoir ? Chose simple une fille parleras toujours de sa mère en bien ou en mal, comme un fils de son père. Si elle n’en avait pas dis mot, c’était pour de bonnes raisons mais d’on elle ne voulais pas parler. Ou elle était décéder, ou bien encore un divorce a briser sa famille. Nul ne peux dire avec exactitude, il lui pris sa tache vide.

Je t’offre celui la !

Puis il alla en chercher un autre

Si le visage de Peyton avait laissé filtrer quelques semblants de sourires quelques minutes auparavant là il devint carrément plus grave. Elle affichait le même masque protecteur qu'elle arborait dans les couloir pour tenir les gens à distance. Elle ne dit rien lorsqu'il évoqua le fait qu'elle fuyait les situations gênantes dans le dessin entre autres, elle ne dit rien lorsqu'il lui dit qu'il était désolé pour sa mère (sujet qu'elle avait bien évidemment omis d'évoquer volontairement) mais quand il lui amena une nouvelle tasse de son breuvage préféré elle plongea son dur regard vert dans ses yeux qui semblaient la transpercer pour voir au plus profond d'elle.

Comment tu...?

Elle ne finit même pas sa phrase, elle se sentait tellement faible de voir qu'il pouvait lire en elle comme dans un livre ouvert, en savoir plus sur elle en un instant que n'importe qui en des mois entiers.Hors de question qu'il croit qu'il pouvait prendre le dessus sur elle.

Tu ne me connais pas Lucas Scott.

Elle prit la tasse et se leva. Elle ne voulait pas rester là à attendre qu'il ait fini de lire dans ses pensées.

Merci pour le capuccino.

Elle voulait retourner à sa table et dessiner comme elle comptait le faire à la base en entrant dans ce café. A mi-chemin elle se ravisa elle ne voulait pas lui donner raison en fuyant une situation gênant exactement de la façon qu'il l'avait décrite. Elle s'immobilisa un instant puis fit demi tour. Elle alla se rasseoir face à lui mais n'ajouta pas un mot et se concentra sur sa boisson.Elle avait une envie folle de dessiner. De faire sortir d'elle tout ce qu'elle ressentait en ce moment...Mais elle était trop bornée. Elle attendrait d'être rentrée chez elle. Elle allait déguster ce café, sans se presser comme si la situation ne la touchait pas.

A une époque j’ai moi aussi arrêté de parler de quelqu’un, alors non je ne te connais pas. Mais je sais que l’on garde les choses qui font mal, toujours silencieuse.

Lucas n’était pas un je sais tout loin de la, mais dans sa vie lui aussi avait subit des déceptions. Lui aussi avait connus l’absence de personne, mais il éviter de s’en plaindre. A quoi bon de toute façon, les choses n’aller pas changer. Mais il ne pu rien dire de plus car la jeune fille ce leva pour partir, Lucas la regarda faire sans rien dire. Il n’aurait peut être pas du aborder ce sujet la, mais la jeune femme fit une chose bizarre elle revint a la table de Lucas. Il lui fallut quelques secondes pour comprendre, la signification de son geste.

Il semble que tu es fait le choix de rester ici !

Il parla bien évidemment de la table, mais aussi dans cette ville. C’était peut être étrange comme parallèle, mais en choisissant de ne pas fuir ce qui l’avait toucher. Elle venait de faire son choix, celui de faire un grand bout de sa vie a tree hill. Malgré le fait qu’elle soit revenus, Lucas tenta de lui de ne pas lui montrer sa joie. Puis une fois que la demoiselle était de nouveau bien en place, il lui tendit sa main en souriant.

Bonjour je suis Lucas Scott et toi ? J’aimerais bien te connaître, chère inconnue !

Peyton sortir de la contemplation de sa tasse et regarda d'un air renfrogné la main qu'il lui tendait.Comme si ça allait être aussi facile. Elle avait été touchée par la simple évocation de sa mère, le fait que se soit quelqu'un qu'elle ne connaissait pas qui en parle la faisait se sentir 100 fois plus vulnérable. C'était un des sentiments qu'elle détestait le plus et il était quasi omniprésent quand Lucas la regardait ou lui parlait. Elle n'avait pas du tout le recul nécessaire sur la situation pour se rendre compte qu'il n'avait pas fais ça méchamment. Après un hésitation elle lui serra quand même la main mais elle était toute tendue et rigide si elle avait pu lui broyer les os elle l'aurait surement fait.

Peyton Sawyer. Et je crois pas que tu ai vraiment envie de me connaitre.

Dans tous les cas il serait perdant. Elle était loin de se montrer sous son meilleur jour d'une part. Il allait surement être repoussé par son côté sombre et ses remarques cyniques, il le serait surement par son caractère de cochon et si malgré tout ça il arrivait à l'appréciait quand même ce serait surement le moment que choisirait son père pour annoncer un nouveau déménagement.

Mais comme tu voudras une question chacun...à toi l'honneur.

Si j’ai envie de te connaître, et tu veux savoir ? Avec le temps je sais que tu en changeras des vies, et tu le feras en bien. Et si tu te laisse aller, il ce peut que d’autre change la tienne….

Comment une fille aussi gentille avait pu devenir si renfermer, peut être personne n’avait était la pour l’écouter. Quand on a que le silence comme réponse a nos crainte, pas étonnant qu’au final plus aucuns ne sorte de notre bouche. Il aurait bien aimé encore discuter avec elle, mais une bande de collégiens entra dans le café. Et sa mère lui fit les gros, terminer le temps du papotage avec une jolie fille. Il ce leva a regret, mais avant de quitter Peyton. Il ce pencha vers elle, puis lui murmura

Voudras-tu me revoir ? Je suis enchanter de te connaître Sawyer….

[ nous allons ouvrir un autre susu Smile

]

Peyton l'écouta parler, en se demandant d'où il sortait des trucs pareils. Elle n'avait jamais pensé pouvoir avoir une bonne influence sur la vie de qui que ce soit...ni aucune influence d'ailleurs. A l'exception de la sienne peut-être mais elle avait l'impression de ne pas être totalement maitresse de sa propre vie depuis quelques années.Quand Lucas se leva elle haussa les épaules en guise de réponse. Elle ne savait pas trop quoi penser de lui après cette discussion mis à part qu'il l'intriguait encore plus qu'avant. Mais ça non plus elle n'allait tout de même pas l'avouer.

Ce que je veux n'a aucune importance...ni ce que tu veux toi d'ailleurs.On est dans la même classe donc c'est pas comme si on avait un choix à faire à ce sujet.

Elle se leva et pris ses affaires.

On se reverra en cours.

Alors qu'il partait s'occuper de nouveaux clients elle fouilla dans son sac et déposa la monnaie pour les deux café. Elle n'avait pas l'habitude des cadeaux, et quelque part, de la même façon que les compliments, un peu de mal à les accepter.

[HJ : tu t'occupes du nouveau sujet? je vais faire mon vodcast spécial Lucas.]

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